vendredi 7 mars 2014

Ti-n’ami Harper


L'incomparable premier ministre cAnadien a prévenu la communauté internationale – et, à travers elle, le gouvernement russe – que son pays ne reconnaîtrait pas les résultats du référendum qui doit décider de l’avenir de la Crimée.

D’une part, il s’avance dangereusement, advenant que l’exercice entérine le statu quo, ce qui ferait mal paraître ce bon Stephen J., surtout devant ses patrons de la Maison-Blanche.

D’autre part, il ne faut pas oublier que le CAnada n’a pas eu de grande difficulté à reconnaître l’indépendance du Kosovo, lequel avait agi de manière totalement unilatérale à l’époque, sans s’encombrer d’un lourd et fastidieux processus démocratique, référendaire ou autre.

À cet effet, la présente antinomie qui met en scène le gouvernement cAnadien constitue une leçon importante pour le Québec.

Pensez-y, vous aussi…

Aucun commentaire: