samedi 12 juillet 2014

Ces drones



Voici que l’armée cAnadienne, veut maintenant ses propres drones téléguidés. Les mêmes que ceux que les Yankees utilisent un peu partout pour tuer des gens, pas souvent coupables, à distance. On sympathise avec les militaires outre-Outaouais. En effet, comme leurs ti-namis du sud de la frontière ne voulaient pas les laisser s'amuser avec leurs jouets, ils ont décidé de s’en acheter eux aussi.

On parle en ce moment d’une facture de 1,5 milliard $, ce qui se traduira probablement dans les faits par quelque chose qui oscillera autour des 3 milliards $, sinon plus. Mais même à ce prix, ça restera moins cher qu’un hôpital construit en PPP.

Alors de quoi le contribuable cAnadien peut-il bien se plaindre?

Il devrait rire; c’est drône...

Et maintenant, pour quelque chose
de complètement différent...



Comment faire un film d’animation, par un certain Terry Gilliam,
alors membre des Monty Python.
Via Gizmodo

vendredi 11 juillet 2014

Put-put!


jeudi 10 juillet 2014

Déficit


On se demande parfois comment il se fait que, malgré des compressions sans cesse renouvelées, le système de santé n’arrive toujours pas à respecter ses budgets.

Dernièrement, une situation tout à fait légale a mis sur la sellette M. Yves Bolduc, ci-devant ministre de l’Éducation. Et laissez-moi vous dire que, en matière d’éducation populaire, ce qui se passe en ce moment autour de lui est très informatif.

D’abord, rappelons les faits. En septembre 2012, le gouvernement (sic) de John James Charest est battu aux élections. Par conséquent, M. Bolduc, jusque-là ministre de ce gouvernement (sic), se retrouve sur les bancs de l’opposition. Comme ça ne l’occupe pas tellement, il décide de reprendre sa pratique de médecin. Médecin omnipraticien, notez bien; il n’est pas du tout spécialiste. Pas en médecine, en tout cas…

Il passera ainsi un an et demi (19 mois, pour être exact), député à mi-temps et médecin de famille une vingtaine d’heures par semaine. On peut trouver que M. Bolduc traite un peu à la légère  la fois son serment de député et celui d’Hippocrate, mais ce n’est pas le but de notre propos. Ça ne vous empêche pas de le penser, par contre.

Aujourd’hui, on lui reproche d’avoir abusé du système car, pendant le peu de temps qu’il a passé dans l’opposition, et tout en restant un omnipraticien travaillant (sic) à temps partiel, il a raflé la coquette somme de 215 000 $.
Tout de même, c’est un joli petit pactole. Rien que d’y penser, on se demande combien peut gagner un spécialiste travaillant (sic) à temps plein (re-sic). Quand on songe qu’il y a plus de 20 000 médecins au Québec – un record absolu dans une province où il est pratiquement impossible d’en trouver un –, on peut se demander combien l’enveloppe salariale de tous ces évanescents peut bien nous coûter en tant que collectivité.

Songeons seulement à deux choses. D’abord, que la rémunération à l’acte a augmenté d’à peu près 10 % en moyenne, au cours des 10 dernières années, et que les médecins, spécialistes ou pas, exigent toujours d’être plus payés.

Heureusement que la profession n’attire que des gens honnêtes et désintéressés.

mercredi 9 juillet 2014

Émoi


 

Denis Lebel, l’homme aux petits yeux cuits, et accessoirement vire-capot ainsi que ministre d’État – c’est-à-dire de pas grand-chose – dans le cabinet de Stephen Harper, dont il est le lieutenant au Québec, est également un homme de vision.

Comme le parti qui le dirige ne compte qu’une poignée de députés au Québec, et pas des moindres – nous connaissons tous leur nom –, il s’agit pour cette formation de préparer la prochaine campagne électorale. L’enjeu consiste alors de recruter du personnel compétent ayant une profonde connaissance du terrain, comme le parti conservateur l’a toujours fait chez nous par le passé. Aussi, M. Lebel a-t-il recruté M. Jean-Nicolas Gagné.
 
Rappelons que M. Gagné, outre qu’il a été conseiller aux communications de Mario Dumont, à l’époque où celui-ci dirigeait la Coalition avenir Québec qui portait alors un autre nom – ou après que ce dernier est devenu animateur de télévision, je ne sais trop –, il a aussi œuvré – si j’ose dire – comme directeur de la programmation de Radio X Montréal.

La surprise est de taille et a causé tout un émoi. De fait, jusqu’à aujourd’hui, on ignorait que ce genre de radio fonctionnait sous quelque forme de programmation que ce soit.

Nul doute que, avec de tels atouts, la campagne du parti conservateur au Québec remportera un grand succès auprès d’un électorat toujours au fait de la chose politique et à l’esprit critique très développé.


mardi 8 juillet 2014

Repousser les limites de la stupidité humaine



Certains épais font modifier leur camion diésel pour qu’il produise sur demande une épaisse fumée noire pleine de suie. Pourquoi? Pour faire chier les environnementalistes, les conducteurs de Prius, les piétons, les cyclistes et autres moumounes du même genre. T’aimes pas ça la pollution? Tiens-toé! Mange ma boucane. Ha ha ha!

Via La Presse

Guy comment?




Souverainiste à Radio-CAnada; fédéraliste convaincue en tant que gouverneurE généralE; ambassadrice de bonne volonté avec l’UNESCO; chancelière au sein de l’université de Tawa. 

Voici que Michaelle Jean, sans doute lasse de ces petits mandats insignifiants qui n’utilisent pas son immense talent à sa pleine mesure, a décidé de guidouner pour devenir la prochaine secrétaire générale de la francophonie. Cute, sachant lire des télésouffleurs comme pas une et parlant l’anglais à la perfection, on ne saurait rêver à une meilleure candidate pour le poste.

Personnellement, j’appuie sa nomination de tout cœur. Comme on ne voit presque jamais le secrétaire général de la francophonie chez nous, alors que la langue française recule partout au Québec, ça sera au moins ça de pris.

lundi 7 juillet 2014

Sous mission



Je suis persuadé que ça ne posera aucun problème, simplement parce qu’il a su bien s’entourer.

dimanche 6 juillet 2014

Va donc te faire frapper, innocent!


Via io9

Danger véritable



Hilary Clinton, la cocufiée la plus connue de la planète, a expliqué comment Vladimir Poutine et la Russie, avec 3,6 % des budgets militaires mondiaux, présentent une menace véritable envers les Stazunis qui ne possèdent que 43 % des budgets militaires.

Comme d’habitude, sa crédibilité est inattaquable.